Collection Dassault Aviation

Toile 100% coton tricoté en France, doublure beige, logo et marquage en broderie, ZIP Talon.

Blousons fabriqués dans les ateliers Barnstormer à Paris.

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Depuis le milieu de 1964, Marcel Dassault, conscient de l’impasse où conduisent les avions à gros moteurs, trop chers pour l’exportation, fait étudier par sa Société, sur fonds propres, un petit appareil bisonique, le Mirage III E 2. Monoplace, destiné surtout à l’exportation, il possède, comme le modèle Mirage III F 2, d'une voilure en flèche. Le réacteur est un Snecma Atar 9 K identique à celui du Mirage IV A. Il lance, à la fin de 1965, la fabrication d’un prototype capable de convenir à l’armée de l’Air et qui prend le nom de Mirage F1.

En 1963, l’état-major de l’armée de l’Air élabore les spécifications d’un avion de pénétration basse altitude tous temps. Il doit être capable d’interceptions à vitesse supersonique, apte à utiliser les pistes courtes et leurs aménagements rudimentaires, avec une vitesse d’approche inférieure à 140 n◊uds (260 km/h).

Le Mirage F1 02 (Atar 9 K 31) accomplit son premier vol à Istres, le 20 mars 1969, piloté par Jean-Marie Saget, et atteint Mach 1,15.

Production et utilisation opérationnelle

Le premier vol de l’avion de série n° 1 a lieu à Mérignac, le 15 février 1973, aux mains de Guy Mitaux-Maurouard. Le 14 mars 1974, il est livré à l’armée de l’Air.

Plusieurs versions font peu à peu leur apparition :

Le Mirage F1 A, appareil monoplace d'attaque diurne, le Mirage F1 B, appareil biplace d'entraînement allongé de trente centimètres pour permettre l'installation d'un second siège, avec capacité en carburant réduite et les canons de 30 mm supprimés.

Le Mirage F1 CR, appareil monoplace de reconnaissance tactique. Le canon droit est remplacé par un capteur infrarouge. L'avion dispose d'un emplacement sous le nez pour une caméra panoramique (Oméra 40) ou verticale (Oméra 33) Les derniers Mirage F1 CR de l'escadron 2/33 Savoie sont retirés du service le 13 juin 2014, ce qui marque le retrait définitif du Mirage F1 de l'armée de l'air française.

Le Mirage F1 CT, appareil monoplace d'assaut tactique.

Les Mirage F1 sont exportés en Afrique du Sud dès 1974 puis en Grèce (1975), en Espagne (1976), etc. Au total, onze pays se portent acquéreurs de cet avion et il est encore en service dans le monde en 2021.

En 2021 la société Airborne Tactical Advantage Company (ATAC) achète 63 cellules de Mirage F1CT, F1CR et F1B, ainsi que 6 millions de pièces détachées dont environ 150 réacteurs Atar 9 K 50. L'entreprise ATAC souhaite faire revoler entre 30 et 45 appareils démilitarisés, pendant cette seconde vie, d'une durée estimée de dix à quinze ans, les Mirage F1 devraient effectuer entre 200 et 250 heures de vol par an pour simuler des agresseurs. Le premier vol d'un avion remis en état, le Mirage F1B no 502 ré-immatriculé N601AX, a eu lieu le 23 août 2019.

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